Les locomotives de diesel de la série D311 / V188/288

(DR.: série D311 - chemin de fer: série V188/288)

Histoire et engagement

La littérature

 

Histoire et engagement Environ en 1936 le Krupp a été donné l'ordre, plus lourds Canons ferroviaires avec une portée d'environ 40 km développer. À côté de différents canons ferroviaires les calibres 28 cm et 35 cm, né avec des Krupp qui énorme canon ferroviaire "Dora" et "Gustav en fer" avec 80cm calibres. Ces canons étaient les plus grands canons celui Monde. Avec une longueur de canalisation de 32,48m, ces canons ont mis le feu aux plus grands Coquilles d'artillerie qu'il y a eues jamais. Hitler:... poing en acier "meine "... Avec l'ordre de développement sur le canon ferroviaire le "Dora" et le "Gustav" recevaient en même temps des Krupp également l'ordre et les moyens, autour aussi des moyens de traction nécessaires au transport trop développer et construire. Les locomotives de diesel de forces armées existantes jusqu'ici étaient tous ensemble pour cela encore beaucoup trop faiblement. Ainsi, on a saisi électro-diesels introduits sur justement seulement pour le train direct l'Paris-express 4.200PS Moteur de retour qui était au mieux approprié pour ces tâches. Celui Des tracteurs pour ces canons devraient aussi en même temps l'énergie pour les grues de construction visant l'établissement de la position de feu, l'électricité pour les deux Munitionszuege et l'électricité pour les voitures d'appareil et d'équipage livrer. Par conséquent la décision pour la commande électro-dieselle. La phase de planification a commencé en 1937. Début 1942 le Dora était disponible. La désignation du type a été fixée sur D311, donc les locomotives doubles avec 1050 CV une performance chacun sur deux châssis vierachsige. Le Krupp a livré au total huit moitiés de véhicule à D311.01 avec les types a/b à D311.04 a/b. Celui Des véhicules avec les numéros de série 2198/2199 et 2200/2201 sont devenus le 22 octobre 1941, les appareils 2468/2469 et 2470/2471 le 25 août 1941 livré. Encore deux autres unités qui toutefois à cause de la destruction celui devraient être construites Des usines de fabrication pendant les attaques aériennes sur Essen être achevées ne pouvaient plus. Après le einschiessen de chasse un sur l'aire d'entrînement de troupe la forêt de blâme/Pommern est venu elle sur la péninsule Crimée, Beschiessung de la forteresse Sewastopol. Des locomotives de vapeur de la série 50 ont tiré ceux-ci de plusieurs parties train de canon arrangé à l'avant. Le canon devait sur la base de son grand poids 1350 de t sur deux voies parallèlement courantes on conduit. Elle a été développée dans celui abaisse la colline de terre ébauchée particulièrement. Pour alimenter, est devenu elle dans une courbe de chasse ébauchée pour cela avec les deux locomotives électro-dieselles D311 01a/b et D311 0à/b déplacent. Le V188 qualifié de "Walli" était utilisé sur la péninsule Crimée. Elle s'est située avec leurs _ appareil le le grand par construire canon, le Dora. De plus, elle a servi Alimentation en énergie de l'unité de canon totale. Le canon a mis le feu à de 7-t- de projectiles avec un force de dynamitage si énorme qu'un abri de dépôt de munition soviétique 30 m sous la terre lors assiéger par les Sewastopol, on a détruit. Le canon a roulé orienter balistique vers une "courbe de chasse" deux voies parallèles, sur deux voitures de chariot lourd vielachsigen courant côte à côte comme transport. Le verschub millimetergenaue (n'a pas eu un drehkranz le transport) effectués avec les deux assignés D311 côte à côte. Pendant les coupures de chasse, ces Loks ont été utilisés visant le triage des trains d'approvisionnement.   Les Loks étaient certes umspurbar, mais ils ont roulé sur la trace normale à leurs engagements. Après le bombardement réussi des Sewastopol, le canon devrait visant assiéger des Leningrad commencé devenir. avancer le bras rouge a laissé à néant ce projet devenir. Le canon a été supprimé ueberhastet.

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Technique et Construction Mécanique des Krupp: chaque moitié de véhicule a obtenu un châssis rigide et vierachsiges, sur lequel par construction de moteur et un état de chef a été développé. Deux unités ont toujours été couplées solidement et par un État de chef servir . Équipement électrique des Siemens-Schuckert-Werke (SSW): Les installations ont réussi : le générateur principal, générateur d'excitateur, 4 Moteurs. Les moteurs pouvaient être enclenchés parallèlement ou dans une série, selon le cas d'application Transport ou verschub.

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Service ferroviaire Les deux premières unités doubles ont décalé le canon Dora mentionné sur la péninsule Crimée avec celui assiéger des Sewastopol. Les deux autres unités doubles sont aussi venues à la côte de mer roumaine et à la côte de canal pendant l'invasion alliée à l'engagement. Après la guerre, il n'y a plus que une unité endommagée difficilement qui s'est trouvée dans les zones de l'ouest dans le fraenkischen Secteur qui on a subordonné aux "Allied de FORCE d". Une autre unité s'est trouvée avec un Commerçant de ferraille à Amsterdam (!) encore. Dans la liste d'inventaire "des Allied FORCE " on se rassemble et encore d'autres 4 véhicules particuliers dans un état relativement bon, de sorte que lui l'encore jeune Des chemins de fer fédéraux allemands à cause d'un manque de situation de véhicule intense en général à 1949 ont décidé, deux Unités avec des Krauss-Maffei dépasser et préparer on pouvoir. finies déjà en 1950 Des appareils ont reçu les numéros V 188.001 a/b et V188 002 a/b. Ils ont été utilisés comme locomotives coulissantes sur le Spessart-Rampe Francfort-château. La troisième unité complète par "les Allied de FORCE ", on n'a plus régénéré. Elle est restée en tant que donneur de pièce de rechange recevoir. Avec un feu dans la salle des machines avec des Bamberg, un appareil double a fortement été endommagé. en 1957, la modernisation de l'armement des locomotives intéressantes sur les nouveaux moteurs de ruisseau de mai de cylindre de douze a commencé 1100 CV, ainsi que de boîte de vitesses de réduction supplémentaire pour les générateurs. V188 001 devait être remplacé à cause des frais d'entretien trop élevés en 1969. V188 de 002, 288.002 tardifs est resté encore d'ici 1972 dans le Nuernberger secteur. Des Veschrottet sont devenus les deux appareils en 1973 dans l'entreprise Layritz dans les Penzberg. En ce qui concerne ces appareils, il s'est agi de construction née spéciale au cours de la guerre qui pas exigence sur cela, avec les expériences gagnées de lui l'influence peut élever sur le développement de véhicule actuel avoir eu .

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données techniques   Numéros industriels V 188.001 a/b V 188.002 a/b Conséquence d'essieu monté Do+Do Écartement des voies 1435 mm Longueur sur des amortisseurs 22510 mm État d'essieu monté d'une unité de DO 6000 mm Total état d'essieu monté 16350 mm La plus grande hauteur au sommet de toit 4445 mm La plus grande largeur 2910 mm Diamètre de rad d'impulsion 1250 mm Le plus petit coude de voies praticable 150 m Masse du véhicule avec des stocks pleins 150 t Achsfahrmasse avec des stocks pleins 18,75 t vitesse maximale admise 75 km/h Moteur diesel Mai-ruisseau DM 650 (par DO unité) Performance dans 400 m hauteur, 30 Degrés température de l'air 1000 CV 736 kw Régime u/mn 1500 Nombre de cylindres 12 Cylindrée (litres) 64,5 Alimentation en courant électrique (par DO unité) Générateur principal Siemens 710V aGV 350/32 640 kw Générateur d'excitateur Siemens 200V aGV 241/6 5 kw Générateur auxiliaire Siemens 22V aGV 300/13 45 kw Générateur de lumière Siemens 24V Dp1f 2,5 kw Deux batteries de démarreur DIN 72311, tension 12 V Transfert de performance (par DO unité) Nombre des Tatzlagerfahrmotoren 4 Performance par moteur Siemens d 243à 178 kw Fournisseurs et de construction Friedrich Krupp, Essen Pièce du véhicule Mai-ruisseau, Friedrichshafen Moteurs diesel Siemens-Schuckert-Werke, atteindre La BBC, Mannheim Électrique Équipement Première année de la construction en 1940

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Curriculum vitae   D311 01a/b Fabricant: Lokomotivfabrik Krupp, Essen Année de la construction: en 1941 Numéro de série: 2198/2199 Forces armées D311.01   Perte de guerre   D311 02a/b   -   V188 00á/b Fabricant: Lokomotivfabrik Krupp, Essen Année de la construction: en 1941 Numéro de série: 2200/2201 Forces armées D311.02   ->'45 Krupp   ->'51 Chemin de fer (V188 00á) - des Krupp en 1951 au chemin de fer vend - > donneur de pièce de rechange   D311 0á/b   -   V188 001a/b Fabricant: Lokomotivfabrik Krupp, Essen Année de la construction: en 1942 Numéro de série: 2468/2469 Forces armées D311 0á/b   - > '45 chemin de fer V188 001a   après fin de la guerre en 1945 dans le secteur Nuremberg trouvé ->'68 Chemin de fer 288 001-1 a/b + 25.09.69   Le donneur de pièce de rechange ->11.69 Entreprise Layritz   ++ met 01.70 au rebut   D311 0â/b   -   V188 00à/b   -   288 002-9 Fabricant: Lokomotivfabrik Krupp, Essen Année de la construction: en 1942 Numéro de série: 2470/2471 Forces armées D311 0â/b   À ->'45 lv L5 (la Hollande) après fin de la guerre en 1945 en Hollande rester ->12.49 Chemin de fer V188 00à en provenance de Hollande en 1949 acquéreur ->'68 Chemin de fer 288 002-9 a/b + le 05.06.72 ->'73 Entreprise Layritz ++ met 73 au rebut   D311 0ä/b Fabricant: Lokomotivfabrik Krupp, Essen Année de la construction: en 1943 Numéro de série: 2904/2905 Forces armées D311 0ä/b   détruit par un effet de guerre pendant la fabrication avec des Krupp. Le numéro de série a été donné plus tard autrement.   D311 0ã/b Fabricant: Lokomotivfabrik Krupp, Essen Année de la construction: en 1943 Numéro de série: 2906/2907 Forces armées D311 0ã/b   détruit par un effet de guerre pendant la fabrication avec des Krupp. Le numéro de série a été donné plus tard autrement.

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Extraits de livre industriels   D311 01a/b   -   V188 001 Cela sont des copies original livre industriel CVm Nuremberg

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Horaire de service   Horaire cahier 9 Nuremberg 1971-1972   Plan de service DL 288

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Images (en cliquant sur avec celui une nouvelle fenêtre s'ouvre la clé de souris gauche *** TRANSLATION ENDS HERE *** mit dem Bild im Großformat) 1937-1945 Fotos von: Bundesarchiv Koblenz, Militärarchiv Freiburg, Hist. Archiv Fried. Krupp GmbH-Essen   1946-1971 weitere Bilder gesucht i´m looking for further pix Photos de: (voir la description du texte pertinent) Plus de photos voulaient !!!

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Modell   Miba-Report (von Bernd Beck und Bernd Zöllner) Nicht zum ersten Mal erscheint in H0 ein Modell dieser Doppellokomotive. Rund 20 Jahre ist es her, dass Günther und in dessen "Kielwasser " einige Zeit später Lima sich an dem schweren Brocken versuchten. Nun hat Märklin sein H0-Modell ausgeliefert. Als Vorbild für seine erste Modellausführung der "Wehrmachtslok " V 188 wählte Märklin die V 188 001 im Zustand von 1955, als die Lok noch den alten 940-PS-Motor von MAN besaß. Nach außen sichtbar wird diese Motorbestückung an den "Oberlichtern " über den Motorräumen. Wie bei Märklin üblich, sind die Aufbauten des Modells fast komplett aus Metalldruckguss gefertigt. Dach und Seitenwände sind an einem Stück gespritzt und mit Kunststoffdetails bestückt. Die bereits erwähnten "Oberlichter " sind als Kunststoffteile separat auf das Dach gesetzt. Damit bleibt formtechnisch die Möglichkeit gegeben, auch zeitlich spätere Varianten ohne den Lüfteraufsatz im Modell zu realisieren, wovon Märklin sicher Gebrauch machen wird. Unter einer zweiten, kleineren Klappe auf dem Dach ist die Gehäusebefestigungsschraube verborgen. Beide Kunststoffteile sind in Dachfarbe lackiert, so dass der Materialunterschied nicht auffällt. Alle Einzelheiten und Nieten am Gehäuse sind fein graviert. Die Griffstangen an den Führerstandstüren sind aus Draht eingesetzt, während die Trittstufen aus Kunststoff bestehen. An diesen Tritten sind sogar die Gitterroste eingraviert. Alle Fenster sind von außen bündig eingesetzt. Leider sind an diesen Teilen zusätzliche Innenrahmen sowie die Rastnasen von außen sichtbar. Hinter den Fenstern des Maschinenraums verwehren Blenden aus Kunststoff den Blick auf die Modelltechnik. . Die Lokkästen sind mit weiteren angesetzten Teilen komplettiert: nach vorn gebogene Pfeifen, Lampen neben den rechten Türen (s. MIBA 4/98, Seite 22) und Zughaken in den Kunststoff-Pufferträgern. Diese klemmen auf Halterungen am Gehäuse. Nicht freistehend angesetzt sind dagegen die Signalhalter an der Front. Die aus Stahl gedrehten Pufferteller haben statt einer gewölbten (rechts) und einer glatten Fläche (links) beide eine gleichartige, leichte Wölbung - eine Vereinfachung, die nicht mehr zeitgemäß ist.. Die Übergangstüren an den Rückseiten sind angedeutet, jedoch nicht verglast. Dies fällt jedoch beim normalen Betrieb auf der Anlage nicht auf. Auffällig ist schon mehr die nicht gelungene Partie um das obere Spitzenlicht: hier wurde aus formtechnischen Gründen die Umrandung der Lampenfassung weggelassen, wodurch diese Stelle etwas plump wirkt. Zwei Kunststoffblenden sind auf den Druckgussrahmen des Modells aufgeklippst und zeigen die Nachbildungen von Achslagern, Sandkästen, Sandfallrohren. Als Steckteil ist die Sifa an der jeweils rechten Seite angesetzt. Während jedoch der Rahmen matt gespritzt ist, sticht das Ansatzteil glänzend schwarz hervor. An den Blenden ist außerdem das Bremsgestänge nachgebildet. Die dazugehörigen Bremsbacken liegen vorbildgerecht in Radebene - als separates Teil in jedem der Drehgestelle. Die Beleuchtung wechselt mit der Fahrtrichtung vorbildgerecht weiß/rot. Die Lichtstärke ist auch bei niedrigen Fahrspannungswerten als sichtbar zu bewerten. Verwendung finden nicht Glühbirnen, sondern Leuchtdioden, die gemeinsam auf einer Platine jeweils hinter den Führerstandsimitationen aufgestellt sind. Die seidenmatte Lackierung ist, wie es dem Zustand der V 188 Mitte der 50er Jahre entsprach, in Grün mit umbragrauem Dach ausgeführt. Die Trennkante zwischen Dach und Seitenwänden ist scharf, die Beschriftung sauber und lupenrein ausgeführt. Selbst kleinste Anschriften in den Fabrikschildern sind unter der Lupe noch lesbar. Als Untersuchungsdatum ist der 24.6.1955 angegeben - der Tag der letzten Untersuchung der V 188 001 mit dem alten 940-PS-Motor von MAN. Bernd Beck Technik Bei beiden Fahrzeughälften lässt sich das Gehäuse leicht und ohne Zwängen abnehmen. Ein metallener Rahmen ruht auf zwei Drehgestellen. Das jeweils hintere Drehgestell enthält in alter Märklin-Manier den bekannten Scheibenmotor, der über ein Stirnradgetriebe die beiden komplett mit Haftreifen belegten Radsätze antreibt. Dieses Lokmodell macht der Märklin-Metallbau-Philosophie alle Ehre und weckt durch das ansehnliche Gesamtgewicht von 765 g leider zu Unrecht große Erwartungen an die Traktionseigenschaften. Durch die Drehgestellbauweise, deren Vorteil beim Bogenlauf sicher nicht zu verachten ist, verbleibt von den 382,5 g einer Lokhälfte dem angetriebenen Drehgestell leider nur noch etwa das halbe Reibungsgewicht. Eine Verbesserung ist auch vom zweiten Motor kaum zu erwarten, denn bei der maximal erreichten Zugkraft schleuderte im Test bereits eines der beiden angetriebenen Drehgestelle, begleitet von der märklintypischen Geräuschentwicklung. Wären alle Achsen einer Lokhälfte in einem gemeinsamen Rahmen gelagert, nur die äußeren Achsen angetrieben, die mittleren mit Seiten- und Höhenspiel mitlaufend, könnte dieses Modell beim dann doppelt so hohen Reibungsgewicht enorme Zugkraft entwickeln! Zudem führt die um 146 % (!) zu hohe Endgeschwindigkeit zu einer schlechten Regelcharakteristik mit bescheidenen Langsamfahreigenschaften Für die Aufnahme der Fahrzeugkupplung befindet sich an jedem Fahrzeugende ein Normschacht, der in einer korrekt und präzise arbeitenden Kurzkupplungskulisse geführt wird. Die Kupplung der beiden Fahrzeughälften ist dagegen völlig unbefriedigend. Eine am Drehgestell angeordnete Kinematik mit viel zu geringer Verlängerungswirkung hat zur Folge, dass der Abstand der Lokhälften in der Geraden unnötig groß ausgefallen ist, während sie sich im 360er Radius bedenklich nahe kommen. Eine Steigung darf in einem solchen Bogen nicht beginnen. Eine Deichsel-Anlenkung am Lokrahmen hätte hier bei breiterer Basis eine wirkungsvolle und echte Kurzkupplung ermöglicht   Fazit Ein solide gemachtes Modell mit fein graviertem Gehäuse und vielen angesetzten Details, dessen technische Ausführung aber nicht dem heutigen Stand der Entwicklung entspricht. Maßtabelle Baureihe V 188 001 von Märklin in H0 1:1 1:87/NEM Modell Längenmasse Länge über Puffer: 22 510 258,7 260,7 Länge über Kasten: 11 080 127,4 127,4 Abstand Fahrzeughälften 350 4,0 5,2-6,8 Höhenmasse über SO Dachoberkante (OK Dachhauben): 4 445 51,1 51,0 Breitenmaße Breite Lokkasten: 2 910 33,4 34,5 Radstände Gesamtachsstand: 16 350 187,9 188,8 -190,4 Lokachsstand: 6 000 68,9 68,9 Raddurchmesser: 1 250 14,4 14,0 Puffermasse Pufferhöhe über SO: 1 050 12,1 12,5 Puffermittenabstand: 1 750 20,1 19,8 Pufferlänge: 650 7,5 7,5 Radsatzmaße entsprechend Märklin-Werksnorm Radsatzinnenmaß: - 14,4-0,2 14,2 Spurkranzhöhe: - 1,35+0,05 1,4 Spurkranzbreite: - 0,9+0,1 0,9 Alle Maße in mm Messwerte V 188 Gewicht Lok: 765 g Haftreifen: 8 Messergebnisse Zugkraft Ebene: 162 g 3% Steigung: 136 g Geschwindigkeiten (Lokleerfahrt) V max : 185 km/h bei 12 V V Vorbild : 75 km/h bei 9,8 V V min : ca. 10 km/h bei 7,2 V V NEM zulässig: 105,0 km/h bei 16 V Auslauf   aus V max : 450 mm aus V Vorbild : 83 mm Lichtaustritt vorn: ab 46 km/h bei 8 V hinten: ab 46 km/h bei 8 V ungefährer Ladenpreis Euro 240,-

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